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Un article de Jérémy Renchy
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Les acquisitions d’œuvre d’art peuvent permettre de réduire les impôts. Quels sont les avantages de l’acquisition d’œuvre d’art ? Quelles en sont les conditions ?
Définition de l’œuvre d’art
Conformément à l’article 98 A de l’annexe III au CGI, les œuvres d’art sont :
Les avantages fiscaux et leurs conditions
Les avantages fiscaux ne sont que sur les œuvres originales d’artistes. Dès son acquisition, il est possible de la déduire fiscalement pendant 5 ans, par fractions de valeurs égales. Toutefois, il y a une limite : chaque fraction ne doit pas excéder 0,5% du chiffre d’affaires, en application de l’article 238 Bis du CGI.
Le fractionnement est fait à partir du prix d’achat augmenté des frais accessoires éventuels et diminué de la taxe sur la valeur ajoutée récupérable.
Plusieurs conditions doivent être remplies afin d’ouvrir le droit à la déduction :
Provision pour dépréciation de l’œuvre
[message type=”warning”]Deux solutions possibles :le prix d’acquisition est inférieur ou supérieur à 7600€.[/message]
Si l’œuvre est acquise à un coût inférieur à 7600€, alors l’entreprise est en droit de constituer une provision sur dépréciation comme à son habitude.
Mais si le coût de l’œuvre dépasse les 7600€, l’entreprise sera dans l’obligation de faire constater la dépréciation par un expert agréé auprès des tribunaux. Ainsi une fois le montant de la dépréciation estimé par l’expert, l’entreprise pourra constater une provision sur dépréciation.
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[…] L’acquisition d’une oeuvre d’art par une entreprise […]